ZAC DU TASTA – Ilôt A7
La parcelle est bordée au Nord, à l’Ouest et au Sud, d’un tissu pavillonnaire urbain hétérogène et peu élevé, généralement à RDC et R+1. À l’angle Sud-Est, se trouve le collège Rosa Bonheur, puis une série d’équipements développés au Sud de l’étang, depuis le Parc de Chavaille. À l’Est, la parcelle bénéficie d’une vue proche sur l’étang. La parcelle se trouve donc à la transition entre tissus pavillonnaire et équipement.
L’opération comprend une mixité de programmes intégrant 30 maisons en accessions sociales réparties en 5 bandes et 22 appartements locatifs regroupés en 2 ensembles.
La parcelle est desservie en son cœur par une voirie partagée interne à sens unique, rétrocédée à la CUB.
Le projet intègre en son cœur un espace vert en « coulée verte » vers l’étang aménagé par la CUB. L’implantation du bâti intègre donc cet élément fort du projet, en proposant un jeu de sentes et de passages renforçant les connexions avec la ville.
Les maisons proposent une typologie unique en duplex, dont le jeu de symétrie en plans et d’inversion de pente de toitures, rompt la linéarité et supprime l’effet de répétition inhérent à l’implantation de maisons en bande.
Des décalages de volumes entre le RDC et le R+1, créant terrasses et porte à faux, permettent également de donner un rythme et du relief aux constructions.
Les logements collectifs sont traités de manière à rendre identifiable chaque cellule de logements, avec des décalages de volumes en superposition.
Le collectif G4, accessible depuis la rue A. Bert, propose un jeu d’empilement de volumes qui évite l’effet « barre d’immeuble », renforçant son intégration.
Le collectif G7, à l’Est, face au collège, est inscrit dans la partie la plus généreuse des espaces verts. Proche du lac, il propose des appartements traversants dont la disposition en « dent de scie », multiplie les points de vue rendant chaque appartement singulier. Il participe fortement à la transition entre équipements et tissus pavillonnaires par son échelle intermédiaire.
Ingrédients :
MULTIPLICITÉ, RYTHME, COULEURS
Maitrise d’ouvrage SEMIB/MESOLIA
Architecte Mandataire Luc Arsène-Henry Jr & Alain Triaud
Chef de projet Vianney Devisscher
BET AUIGE (VRD), ABM Energie (THERMIQUE)
Mission Complète
Programme22 logements collectifs sociaux et
30 maisons individuelles en acquisition sociale
Surface 4 495 m²
Coût Travaux 4.5 M € HT
Calendrier Livraison en 2019
TASTA – ILOT A7
Maitrise d’ouvrage
SEMIB/MESOLIA
Architecte Mandataire
Luc Arsène-Henry Jr & Alain Triaud
Chef de projet
Vianney Devisscher
BET
AUIGE (VRD), ABM Energie (THERMIQUE)
Mission
Complète
Programme
22 logements collectifs sociaux et
30 maisons individuelles en acquisition social
Surface
4 495 m²
Coût Travaux
4.5 M € HT
Calendrier
Livraison en 2019
La parcelle est bordée au Nord, à l’Ouest et au Sud, d’un tissu pavillonnaire urbain hétérogène et peu élevé, généralement à RDC et R+1. À l’angle Sud-Est, se trouve le collège Rosa Bonheur, puis une série d’équipements développés au Sud de l’étang, depuis le Parc de Chavaille. À l’Est, la parcelle bénéficie d’une vue proche sur l’étang. La parcelle se trouve donc à la transition entre tissus pavillonnaire et équipement.
L’opération comprend une mixité de programmes intégrant 30 maisons en accessions sociales réparties en 5 bandes et 22 appartements locatifs regroupés en 2 ensembles.
La parcelle est desservie en son cœur par une voirie partagée interne à sens unique, rétrocédée à la CUB.
Le projet intègre en son cœur un espace vert en « coulée verte » vers l’étang aménagé par la CUB. L’implantation du bâti intègre donc cet élément fort du projet, en proposant un jeu de sentes et de passages renforçant les connexions avec la ville.
Les maisons proposent une typologie unique en duplex, dont le jeu de symétrie en plans et d’inversion de pente de toitures, rompt la linéarité et supprime l’effet de répétition inhérent à l’implantation de maisons en bande.
Des décalages de volumes entre le RDC et le R+1, créant terrasses et porte à faux, permettent également de donner un rythme et du relief aux constructions.
Les logements collectifs sont traités de manière à rendre identifiable chaque cellule de logements, avec des décalages de volumes en superposition.
Le collectif G4, accessible depuis la rue A. Bert, propose un jeu d’empilement de volumes qui évite l’effet « barre d’immeuble », renforçant son intégration.
Le collectif G7, à l’Est, face au collège, est inscrit dans la partie la plus généreuse des espaces verts. Proche du lac, il propose des appartements traversants dont la disposition en « dent de scie », multiplie les points de vue rendant chaque appartement singulier. Il participe fortement à la transition entre équipements et tissus pavillonnaires par son échelle intermédiaire.
Ingrédients :
MULTIPLICITÉ, RYTHME, COULEURS
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